Au fond, nous dit-il, le plus grand malheur des juifs, ce n’est pas d’être massacrés, anéantis, humiliés : c’est de n’être pas crus. Et l’immense solitude qui résulte de cette incrédulité.
Au fond, nous dit-il, le plus grand malheur des juifs, ce n’est pas d’être massacrés, anéantis, humiliés : c’est de n’être pas crus. Et l’immense solitude qui résulte de cette incrédulité.