À part l’imam Chalgoumi, et Marouane Rhiwi bien peu de responsables du culte musulman en France ont eu le courage de dénoncer les crimes épouvantables du Hamas sur environ mille civils israéliens (dont plusieurs dizaines étaient musulmans) et sur des militaires pris par surprise.
Ensuite, le même silence s’est fait sur les témoignages de Gazaouis déclarant que le Hamas les empêche de quitter la zone où Tsahal va tirer, après en avoir averti les habitants.
Maintenant, c’est encore le silence sur les preuves qui démontrent que ce qui a frappé la cour d’un hôpital de Gaza, c’est une roquette du Djiha islamique palestinien. Le Hamas a donné des chiffres démesurément grossi, mais cette explosion a forcément fait des victimes.
La solidarité religieuse est une chose. Mais refuser de dénoncer des crimes commis contre ses coreligionnaires, au prétexte qu’ils sont le fait d’extrémistes issus de sa propre religion, c’en est une autre. Et là, ce n’est plus respectable du tout.

Les responsables du CRIF seraient bien avisés d’y réfléchir à deux fois avant d’inviter ceux qui ne donnent décidément pas le bon exemple aux Français musulmans.